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La véritable histoire de l'arche de Noé
07-04-2025

La véritable histoire de l'arche de Noé

8 Minuten lesen

L’histoire de l’arche de Noé est l’un des premiers drames présentés dans les récits bibliques. Situé dans le livre de Genèse, il s’agit de l’histoire de la première destruction de masse qui s’est abattue sur l’humanité en rétribution de la corruption qui régnait parmi les hommes. C’est l’histoire d’un Dieu qui remet de l’ordre dans Sa création par le déluge. C’est l’histoire d’un Dieu qui sépare Noé et sa famille des personnes condamnées pour établir une nouvelle alliance avec lui. C’est l’histoire d’un Dieu qui se présente au peuple comme un Dieu de sainteté et de miséricorde et de fidélité. Dans cet article, nous vous proposons une perspective originale d’une histoire riche en instructions et en enseignements.

Quand les hommes se jouent de la patience divine

C’est dans les chapitres 6, 7, 8 et 9 du livre de Genèse que se situe l’une des histoires les plus touchantes jamais relatées dans la bible ou même dans le monde. La bible nous présente un peuple trempé dans le péché, profondément corrompu et résolument éloigné de Dieu. Face à l’odieux spectacle que présentaient à Dieu ses créatures infidèles, le démiurge décida d’intervenir et de mettre fin à la récréation.

Tout commença par une réduction de la longévité des humains. Il promit de fixer le plafond de leur existence à quelque 120 années sur terre. (Genèse 6 :3 Alors l'Éternel dit: Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans).

Visiblement insensibles à ce premier avertissement, les hommes n’ont pas daigné se détourner de leur manière odieuse et inique de vivre. Dieu décida alors de passer à la vitesse supérieure en ouvrant les écluses des cieux et en faisant pleuvoir pour la première sur la terre.

Cette première fois sera tellement mémorable qu’on s’en souviendra pendant des millénaires. Tellement mémorable que nous gardons désormais nos bijoux chrétiens pour nous souvenir que la nouvelle alliance initiée par Dieu est la preuve d’un grand amour, puisque l’humanité n’a pas été détruite avant.

Le déluge : le jugement d’un Dieu irrité par le péché

La première pluie qui tomba dans la bible n’est pas tombée pour arroser les plantes ou abreuver les animaux. C’était une pluie de jugement, un déluge. Dieu s’était promis d’exterminer de la face de la terre l’homme qu’il a créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel (Genèse 6 :7).

De tous, Noé et le seul qui allait être épargné de ce jugement implacable. Trouvé juste et intègre aux yeux de Dieu, ce descendant d’Adam allant bénéficier d’un traitement spécial. Le fils de Lamek qui avait déjà prophétisé que Noé apporterait le soulagement et la consolation pour son peuple allait finalement accomplir le but de son existence.

C’est en effet à Noé que Dieu confie son projet de destruction. Il s’assure aussi de lui révéler une échappatoire. Il devait construire une arche qui servirait à abriter sa famille et lui, pendant tout le temps que les eaux du ciel tombaient sur la terre.

Noé avait ainsi trouvé grâce aux yeux de Dieu. Cet épisode rappelle à l’humanité entière que Dieu qu’il demeure un juste juge, mais qu’il est riche en miséricorde envers ceux qui font appel à Sa bonté. Cette croyance est cristallisée dans chaque bague croix amour, chaque collier croix zirconium. Ces objets renforcent notre dévotion au Père et nous maintiennent dans la conscience de Sa bonté et Sa miséricorde infinies.

Noé, sa femme, ses trois fils (Sem, Cham et Japhet) et ses belles-filles ont tous été sauvés. En plus de ces humains favorisés, un couple de chaque espèce d’animaux pourra survivre au déluge, puisque Dieu a aussi ordonné à Noé de les faire entrer dans l’arche.

Mais l’arche de Noé n’est pas un projet architectural comme les autres. Des détails très spécifiques sur sa construction ont été donnés à Noé. Les mesures (longueur, hauteur et largeur), les essences de bois à utiliser, les mesures à prendre pour garantir l’étanchéité, la structure du navire, les travaux de finition, etc.

L’arche devait ainsi faire une longueur de 300 coudées, une largeur de 50 coudées, une hauteur de 30 coudées. Elle devait s’élever sur trois étages, le premier, réservé aux animaux, le deuxième, aux humains, et le troisième, aux oiseaux.

Pendant qu’il construisait le navire spécial avec l’aide de ses fils, beaucoup se moquèrent d’eux, incapables de croire qu’un tel désastre s’abattrait sur l’humanité. Une fois que la réalisation de l’arche s’est achevée, Noé reçut l’ordre de faire entrer dans l’arche sa famille et les couples d’animaux (mâle et femelle) pour chaque espèce. Dès qu’ils furent rentrés à l’intérieur de leur bunker, Dieu a scellé la porte de l’arche. C’est alors qu’il se mit à tomber une pluie que jamais le monde n’oubliera.

La fin du déluge

Pendant 40 longs jours et 40 longues nuits, il plut sur la terre. Tout ce qui avait vie sur terre (oiseaux, bêtes sauvages, etc.) s’était noyé. Ceux qui vivaient, c’était ceux qui sont entrés dans l’arche de Noé. La terre entière était tellement couverte d’eau que même les montagnes étaient couvertes.

La bible indique que la hauteur des eaux était de 15 coudées au-dessus des montagnes. Dès que la pluie a cessé, il a encore fallu attendre un peu de temps pour que le niveau des eaux qui recouvrent la terre baisse. Comme par un arrangement divin, l’arche de Noé se stationna sur le mont Ararat. C’était à peu près 220 jours après le début du déluge.

Pour déterminer s’il pouvait sortir et faire sortir sa famille sur terre ferme, Noé relâcha d’abord un corbeau. Celui-ci revint dans l’arche, ce qui indiquait qu’il n’avait trouvé nul lieu où il pouvait se poser. Quelques jours plus tard, le capitaine de l’arche envoya une colombe qui revient dans l’arche, avec, dans son bec, un rameau d’olivier frais.

C’était un indicateur de la présence de plantes sur la terre. Mais Noé n’avait pas encore la certitude que la terre était sèche, puisque l’oiseau ne devait pas venir. Il attendit sept nouveaux jours au bout desquels il envoya une colombe. Celle-ci ne revint pas, ce qui permit à Noé de savoir que la terre avait déjà complètement séché et qu’il était désormais possible de débarquer en toute sécurité.

C’est alors que Dieu donna à Noé et à sa famille l’ordre de sortir de l’arche. Dès qu’il en fut en dehors, Noé bâtit là un autel sur lequel il offrit des animaux purs à Dieu, en guise de sacrifice d’action de grâce. Ce geste plut à Dieu, qui, ayant senti l’odeur de la graisse, promit de ne plus jamais envoyer le déluge sur la terre. Pour sceller sa promesse, cette nouvelle alliance, il fit apparaître un arc-en-ciel, symbole d’un renouveau entre Dieu et sa création. Noé devient ainsi l’ancêtre de tous les peuples qui ont vécu et qui vivront sur terre après le déluge.

L’histoire de l’arche de Noé : mythe ou réalité ?

Du point de vue de la science, il est difficile de croire à la crédibilité de l’histoire de l’arche de Noé. Chercheurs et experts n’ont pas cessé de débattre de ce sujet, parce que sur les plans géologiques et archéologiques, aucune preuve ne permet de soutenir le récit biblique d’un déluge d’une telle envergure.

La bible aurait-elle menti ? Certainement pas. En fait, il faut préciser que le récit relaté par la bible est aussi relaté par le coran. Du verset 27 au verset 51 de la sourate 11 portant le titre « Houd », on retrouve cette histoire. Mais la grande différence, c’était que le Coran considère plutôt que l’arche a échoué sur le mont Djoudi.

Et quand on pousse les recherches un peu plus loin, on se rend compte qu’il existe aussi un mythe mésopotamien d’un déluge universel. D’ailleurs, dans plusieurs civilisations, cette histoire de déluge semble revenir sous une forme ou une autre. Dans la mythologie mésopotamienne par exemple, on entend parler d’un déluge semblable à celui qu’a connu Noé.

Le mythe sumérien d’Atrahasis aussi qui remonte au XVIIe siècle av. J.-C. et le mythe d’Utanapishtim qu’on retrouve dans l’Épopée de Gilgamesh, une célèbre œuvre littéraire datant du VIIe siècle av. J.-C., font penser au déluge universel qu’a vécu Noé. En effet, les archéologues ont trouvé des portions de textes originaux en sumérien, en assyrien et en akkadien. Ils étaient tous rédigés en écriture cunéiforme.

D’après cette légende mésopotamienne, Atrahasis qu’on appelle aussi Ziusudra ou encore Uta-Napishtim a reçu du dieu Enki ou Ea, une invitation à entreprendre la construction d’un navire. Celui-ci devait lui permettre d’échapper à un déluge que l’assemblée des grands dieux avait décidé d’envoyer sur la terre.

La parenté évidente entre la version mésopotamienne et la version biblique du déluge universel ne doit pas être le fruit du hasard. On rappellera, pour les besoins de la cause, qu’il y a plus de sept millénaires, un phénomène de montée rapide des eaux se produisait au sein du bassin de la mer Noire. Cela arrivait lorsque la digue naturellement initialement formée par le détroit du Bosphore se rompait.

On sait que les rédacteurs des récits bibliques contenus dans le livre de la Genèse ont eu quelques rapprochements avec la culture mésopotamienne. Il faut se rappeler en effet que les Assyriens ont conquis Israël à un moment de l’histoire et que les Hébreux ont été exilés en Mésopotamie. Ce contact entre les deux peuples a certainement permis aux uns de s’imprégner des mythes locaux dont les traces se retrouvent dans les récits de la bible.

Les archéologues continuent à parcourir le mont Ararat

À ce jour, beaucoup continuent à questionner la réalité de l’histoire de l’arche de Noé. L’absence de preuves scientifiques pour corroborer la version biblique de l’histoire a favorisé d’incessantes remises en cause et même des moqueries.

Un tel évènement qui a emporté des villages entiers, des maisons entières, des animaux, des instruments de travail ne peut pas avoir laissé la moindre trace de débris sur la surface de la Terre. Pourtant aucune mission archéologique n’a pu vraiment aboutir à une découverte déterminante à cet égard.

Cette absence de preuves archéologiques n’a cependant pas empêché les chrétiens modernes de se mettre à la recherche de l’arche de Noé. Plusieurs missions chrétiennes se sont rendues sur le mont Ararat, lieu où a échoué l’arche de Noé selon les récits bibliques pour des recherches archéologiques. L’arche de Noé ne sera jamais retrouvée.

Beaucoup de chrétiens fondamentalistes ont tenté de rechercher des fragments de l’Arche à cet endroit situé au nord-est de la Turquie, certains de ce que le récit biblique est exact, étant donné qu’il s’agit de la parole de Dieu.

Le monde chrétien a failli se réjouir lorsqu’en février 1993, la chaîne américaine CBS avait, pendant une émission spéciale de 2h, couvert « l’incroyable découverte de l’arche de Noé ». C’était le témoignage d’un homme qui disait avoir vu l’arche sur le mont Ararat et en avoir récupéré un fragment. Malheureusement, le temps a révélé qu’il ne s’agissait que d’une histoire montée de toute pièce.

En mars 2006, des chercheurs ont affirmé avoir retrouvé une formation rocheuse sur le mont Ararat qui avait l’air d’être une immense arche. Malheureusement, cette affirmation aussi était restée sans suite.

Arche de Noé : un navire qui confirme la puissance de Dieu ?

Beaucoup de questions continuent d’être posées pour tenter d’élucider des points d’ombre de l’histoire de l’arche. Certains se demandent comment Noé et sa famille ont pu trouver un couple d’animaux de chaque espèce sur la terre, sachant que certains animaux n’habitent qu’en Australie ou au Moyen-Orient et que d’autres ne se trouvent qu’en Antarctique.

Même si les dimensions de l’Arche sont telles qu’elle peut abriter une vaste population, comment Noé avait-il pu réussi à rassembler cette diversité d’animaux dans l’impressionnant navire. D’autres ont demandé comment les besoins nutritifs des animaux et des 8 humains qui sont entrés dans l’arche ont été satisfaits pendant la durée du déluge.

L’autre question, plus saisissante encore, était de savoir de quoi comment ces animaux d’espèces différentes, herbivores et carnivores, ont pu cohabiter ensemble ou comment ont-ils pu se nourrir juste après qu’ils ont débarqué du navire.

Il est aussi intéressant de savoir que l’arche n’avait ni appareil de propulsion ou voile pour guider sa course sur les hautes et grandes eaux. Elle ne faisait que flotter à la surface de l’eau sans direction. Il faut croire que Dieu lui-même s’est chargé de le diriger dans une direction spécifique.

Et s’il est vrai que Dieu dans sa toute-puissance a su guider l’arche jusqu’au mont Ararat, il a certainement, par la même puissance veillé à ce que les animaux de diverses espèces puissent habiter ensemble sans se faire du mal. Il a sans doute, par la même puissance, fait en sorte que les animaux ne ressentent pas de faim pendant le voyage. En clair, l’histoire de l’arche de Noé ramène chaque homme face à l’impénétrabilité de Dieu et à sa toute-puissance.


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